SDN Bugey poursuit son cycle de conférences-débats au sujet du projet d’EPR2 à Bugey. Après Bourg-en-Bresse où nous avons eu plus d’une soixantaine de participants,nous vous proposons de nous rejoindre pour une nouvelle conférence, …
Attac Bourg, FNE-01 et Sortir Du Nucléaire Bugey (SDN) ont organisé une soirée « conférence-débat » jeudi 5 décembre à la Maison de la Culture et de la Citoyenneté à Bourg. Une bonne soixantaine de personnes s’est …
Les militants de SDN Bugey ont mené leur action « Zone à évacuer » sur la commune d’Ambérieu ce mercredi 6 novembre. « 8 pancartes « ZONE À ÉVACUER EN CAS D’ACCIDENT NUCLÉAIRE MAJEUR »ont été réparties sur différentes …
« L’humanité va arriver d’elle-même à des choses qui vont la contraindre à faire marche arrière » Pour voir notre article précédent sur ce sujet et une pétition à signer, c’est ICI !
Le CERN a un nouveau projet de Collisionneur Circulaire ( le FCC : Futur Collisionneur Circulaire) qui ne tient compte, ni des recommandations du GIEC, ni des objectifs de limitation de l’artificialisation des sols. …
En Avril, ne te découvre pas d’un … réacteur… !!! ET POURTANT… MALGRÉ L’ARRÊT DE LA MOITIÉ DE SON PARC NUCLÉAIRE la France n’a pas sombré dans le chaos électrique !
Le nucléaire serait-il aussi indispensable que certains le disent ?
SDN Bugey, par la voix de JOËL GUERRY, fait état de la situation dans un communiqué de presse :
Et la presse régionale dans les colonnes du Progrès interroge ses lecteurs via un article signé Amandine EYMES :
Lien Permanent pour cet article : https://www.stop-bugey.org/communiques-de-presse/le-nucleaire-au-ralenti-communique-de-presse-et-reaction/
Suite à l’action Ronds-Points organisée par SDN Bugey le 26 Mars , la presse locale donne la parole aux militants :
Pourquoi les militants anti-nucléaires demandent l’arrêt de la centrale du Bugey
Les militants de l’association Sortir du nucléaire Bugey ont organisé, samedi 26 mars, une action au rond-point de l’Oiselet à Bourgoin-Jallieu pour protester contre les projets de prolongation de durée de vie et de construction de centrales nucléaires. À deux semaines du premier tour de l’élection présidentielle, ils souhaitaient interpeller les candidats à ce sujet. C’est ce que nous explique Philippe Lambersens coordinateur de l’association Sortir du nucléaire Isère.
Par Tim BUISSON (Montage Mégane GILLET) – 27 mars 2022 à 07:15
Interview radiophonique par un journaliste de Radio Scoop, à propos des 50 ans de la centrale (plus exactement, de Bugey 1) : l’occasion de redire certaines choses évidentes concernant la lutte antinucléaire… :
Ci-dessous, l’interview radiophonique tel qu’il a été repris sur le site de Radio Scoop :
LA CENTRALE NUCLÉAIRE DU BUGEY A 50 ANS : EST-ELLE TROP VIEILLE ?
Vendredi 15 Avril – 11:50
La centrale nucléaire du Bugey à Saint-Vulbas, dans l’Ain, près de Lyon, fête son cinquantième anniversaire. Elle a été mise en service le 15 avril 1972.
Ce 15 avril, à la la centrale du Bugey, c’est précisément l’anniversaire du réacteur numéro 1, qui n’est plus en service depuis une vingtaine d’années.
Actuellement, trois des quatre réacteurs actifs, qui fêteront, eux aussi, leurs 50 ans prochainement, puisqu’ils datent de la fin des années 1970, sont à l’arrêt, pour des problèmes de corrosion, ou pour les visites décennales.
Quel niveau de sécurité à 50 ans ?
Il s’agit de grandes révisions obligatoires, effectuées, donc, tous les dix ans, qui impliquent 40.000 activités, plusieurs dizaines de milliers d’heures de contrôle, 4.000 personnes par jour et 250 millions d’investissements sur chaque réacteur.
Ces visites garantissent un haut niveau de sécurité, selon Pierre Boyer, le directeur de la centrale nucléaire du Bugey : « on investit beaucoup sur nos réacteurs pour améliorer la sûreté. Et encore une fois, l’année dernière, on a produit 10% d’électricité de plus que nos prévisions. On voit bien, avec les prix du gaz très élevés, l’importance d’avoir cet outil qui permet de garantir la souveraineté et l’indépendance énergétique de la France ».
Jean-Pierre Collet de l’association Sortir du Nucléaire Bugey ne partage pas cet avis : « Dans une centrale, on peut changer beaucoup de choses, c’est vrai. On peut changer des kilomètres de tuyauterie, on peut changer des vannes, mais on ne peut pas tout changer ! Il y a des organes essentiels, comme la cuve du réacteur, qui ne se change pas. C’est toujours la même cuve qui n’a pas été conçue pour durer 50 ou 60 ans ».
La cuve n’est pas le seul exemple : « il y a aussi l’enceinte de confinement elle-même, qui ne peut pas se changer », poursuit Jean-Pierre Collet. « On est très inquiet. On alerte sur le fait qu’on ne peut pas faire durer comme ça une installation industrielle indéfiniment, surtout quand elle est nucléaire ».
Le nucléaire est-il « propre » et « indépendant » ?
Pour Pierre Boyer, « on est une énergie bas-carbone, et c’est important avec les enjeux sur le climat. On redécouvre également tout l’intérêt d’avoir un parc nucléaire qui produit une électricité pas chère, et surtout, qui n’est pas liée aux prix du gaz ».
Pour lui, cela ne fait aucun doute, « les centrales nucléaires sont un formidable outil pour lutter contre le réchauffement climatique et pour assurer l’indépendance énergétique de la France ».
Des arguments contestés par les anti-nucléaires. Jean-Pierre Collet estime que « l’argument de l’indépendance énergétique ne tient pas du tout ! Le nucléaire, cela fonctionne avec de l’uranium qu’on importe en totalité du Kazakhstan, de l’Australie, du Niger. Si on importe l’uranium, c’est que l’on n’est pas indépendant. De plus, il est exploité dans des conditions déplorables en termes de respect de l’environnement et des populations ! Il y a des problèmes de pollution terribles, avec des contaminations ».
Et maintenant ?
Emmanuel Macron a annoncé la construction de six réacteurs EPR2, avec une option pour huit supplémentaires, soit quatorze au total.
Marine Le Pen veut construire vingt nouvelles centrales : cinq paires d’EPR dès cette année pour une mise en service en 2031, puis cinq paires d’EPR-2 pour 2036.
De leur côté, les experts-climat du GIEC affirment que le nucléaire n’est que le quatrième contributeur pour lutter contre le réchauffement climatique, loin derrière le solaire et l’éolien.
SDN Bugey en direct sur les ondes de France Inter le 24 Mars et sur BFM TV Lyon le 22 Février
Suite aux déclarations d’Emmanuel Macron décrétant un développement forcené du nucléaire pour les années à venir, auquel la plupart des candidats aux élections présidentielles souscrivent à qui mieux-mieux, le sujet finit par retenir l’attention de quelques medias.
Jeudi 24 Mars, Joël Guerry de l’association SDN Bugey (SortirDu Nucléaire Bugey) était invité en direct sur le plateau de l’émission méridienne du 13-14 de France Inter, en direct de la centrale nucléaire du Bugey. Sous la houlette du journaliste Bruno Duvic, cette émission se déroulait en présence de Pierre Boyer, directeur de la centrale nucléaire du Bugey et d’Olivier Dubois, adjoint du directeur de l’expertise de sûreté à l’IRSN.
Joël Guerry (à gauche sur la photo) sur le plateau de France Inter en direct à Bugey
De même, Jean-Pierre Collet également de l’association SDN Bugey, avait été l’invité de BFM TV Lyon le 22 Février pour une interview dont voici les deux extraits retenus sur le site de BFM TV :
À l’occasion des présidentielles, le Progrès ouvre largement ses colonnes au débat sur le nucléaire : 4 pages sont consacrées au sujet. Nous vous les proposons à la lecture…
La parole est donnée à différents intervenants, dont les militants antinucléaires de l’Association Sortir Du Nucléaire Bugey.
Venez nous rejoindre sur un rond-point de la région pour manifester votre opposition à la prolongation des 4 vieux réacteurs du Bugey et à la construction de 2 nouveaux EPR.
Cette grande opération est destinée à rappeler à tous nos concitoyens les risques et les problèmes liés au nucléaire en particulier à Bugey.
Il faut en effet oublier le discours ambiant qui prône « à tout va », entre autre, la construction inévitable de nouveaux réacteurs EPR. Les populations habitant la France et tous les autres pays du continent sont soumises aux risques catastrophiques que cette technologie délétère nous fait courir en permanence. La situation dramatique qui se déroule actuellement en Ukraine devrait faire réfléchir tous nos élus à la dangerosité permanente que cette énergie engendre.
En cas « d’accident », nous serons TOUS concernés et aucune solution miraclepour échapper au désastre qui en découlera.
La France, dotée du plus grand parc nucléaire européen, porte une lourde responsabilité sur la politique énergétique électrique qu’elle propose aujourd’hui et qu’elle envisage de mener pour les décennies à venir.
Les raisons spécifiques qui motivent cette mobilisation, plus particulièrement sur la région qui nous concerne (mais largement déclinables pour les autres centrales nucléaires françaises), sont décrites dans le document ci-dessous :
À Saint-Vulbas, on ne se contente pas seulement des 5 réacteurs nucléaires et d’ICEDA*… !!! Voilà que le Parc Industriel de la Plaine de l’Ain (PIPA) récupère au sein d’une nouvelle entreprise « UniTech Services » une blanchisserie industrielle de linge sale issu du nucléaire.
Des pollutions radioactives supplémentaires ! Et de plus, un investissement de 30 millions d’euros que vont payer les citoyens français (sans qu’on leur demande leur avis, comme d’habitude pour tout ce qui touche au nucléaire) au travers du plan France Relance défendu par Emmanuel Macron.
L’association « Sortir Du Nucléaire Bugey » s’est mobilisée en souvenir de l’accident nucléaire de Fukushima (11 Mars 2011) pour rappeler combien le Nucléaire était une énergie dangereuse pour l’humanité.
Et qui plus est, pour les habitants qui vivent dans la région autour de la centrale du Bugey qui héberge 5 réacteurs nucléaires, dont 4 sont encore en service alors qu’ils ont dépassé les 40 ans de fonctionnement et que les incidents se multiplient, rendant leur fonctionnement de plus en plus aléatoire et dangereux.
Le nucléaire n’est en aucun cas une énergie d’avenir, et le projet de construire sur le site du Bugey 2 nouveaux réacteurs nucléaires EPR est une aberration à tous les niveaux.
Un certain nombre d’élus régionaux étaient au rendez-vous pour soutenir l’action des militants de l’association.
Quand Emmanuel Macron (et presque tous ceux qui veulent briguer le pouvoir à l’occasion des élections présidentielles très prochaines) comprendra-t-il qu’il enclenche la France dans une démarche vouée à la catastrophe ?
Serge Spadiliero du journal « Le Progrès » était sur place pour témoigner du message que les membres de l’association veulent faire passer aux habitants de la région.
Communiqué de presse de l’association Sortir Du Nucléaire Bugey
à propos des Projets de blanchisserie pour décontaminer le linge contaminé des sites nucléaires français et d’une installation de requalification d’équipements contaminés de l’industrie nucléaire de la société UNITECH Services dans la zone industrielle de la Plaine de l’Ain.
Ce projet est confirmé par l’aide financière accordée par l’État dans le cadre du plan de relance de la filière nucléaire, comme vous pourrez le voir dans la Pièce jointe.
Suite aux annonces d’Emmanuel Macron pour relancer à tout-va la France dans le cycle infernal de construction de nouveaux réacteurs nucléaires, les militants de SDN Bugey font connaître leur opposition et leur colère face à une telle décision.
Cliquer l’article pour le lire confortablement…
Au-delà de tous les problèmes de pollution et de dangerosité de cette filière nucléaire, les militants souhaitent dénoncer les arguments totalement fallacieux avancés par EDF, et repris sans état d’âme par le chef de l’état, pour faire passer cette énergie dans la taxonomie verte au niveau européen.
Décision du Président de la République, dans sa tour d’ivoire, sans qu’aucune instance démocratique n’ait eu voix au chapitre.
La presse locale, avec le journal « Le Progrès », était présente pour relayer l’événement aux habitants de la région dans ses colonnes.
Lien Permanent pour cet article : https://www.stop-bugey.org/actions/mobilisation-antinucleaire-sur-le-rond-point-de-lagnieu/
France Culture Journal du 4/08/2022 : Plus de la moitié des réacteurs arrêtés !
Finalement, contrairement à ce qu'on a toujours voulu nous faire croire, LE NUCLÉAIRE EST UNE ÉNERGIE PARTICULIÈREMENT INTERMITTENTE !!!
Abonnez-vous à la revue S!lence !
La revue S!lence porte un projet de transformation de la société dans le sens de la décroissance et de l’écologie sociale. La revue explore les alternatives concrètes et cherche à aborder tout sujet non seulement sous l’angle écologique et décroissant, mais aussi au regard du féminisme et de la non-violence. Depuis l'origine, la revue S!lence s'inscrit également dans la lutte antinucléaire !
Dans le contexte actuel de guerre en Ukraine, l’Europe se retrouve-t-elle à nouveau sur le sentier de la guerre ? Comment analyser le rôle de la France, de l’Europe, de l’arme nucléaire ? Quel lien entre non-violence et démocratie ? Comment agir pour la démilitarisation en France ? Ce dossier apporte quelques éléments de réponses.
Manifestation AntiNucléaire du 3 Octobre 2021 – St-Vulbas (01)
*** Video Manif’ *** 3 Octobre 2021
*** Photos Manif’ *** 3 Octobre 2021
Autres photos Manif’ 3 Octobre 2021
BD sur la catastrophe annoncée du barrage de Vouglans
Si le barrage cédait et qu’une vague déferlait sur la centrale nucléaire du Bugey…
Le barrage de Vouglans menace la centrale nucléaire du Bugey
JEUDI 13 septembre 2018 sur A2
Barrage de Vouglans : scénario catastrophe
Le 14 août 2018, une partie du pont de Gênes s’effondre. 43 morts ensevelis sous les gravats. D’autres gigantesques ouvrages de béton vieux de cinquante ans sont-ils menacés ?
Une telle catastrophe peut-elle survenir en France, en particulier sur le barrage de Vouglans situé en amont de la centrale du Bugey.
CIS bio international, exploitant de l’INB no 29 à Saclay, a déclaré le 19 décembre 2024 à l’ASN un événement significatif pour la sûreté relatif à un écart aux règles générales d’exploitation concernant l’efficacité d’un piège à iode. Le dispositif concerné équipe un conduit de ventilation commun à plusieurs laboratoires de l’installation et fait partie du dernier niveau de filtration avant rejet.
Le 19 décembre 2024, EDF a déclaré à l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) un événement significatif pour la sûreté relatif à la détection tardive de l’indisponibilité de la source électrique externe auxiliaire des réacteurs 3 et 4.
Le 3 décembre 2024, l’exploitant de la centrale nucléaire du Blayais a déclaré à l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) un événement significatif pour la sûreté relatif au non-respect des règles générales d’exploitation du réacteur 3.
Le 12 décembre 2024, l’exploitant de la centrale nucléaire du Blayais a déclaré à l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) un événement significatif pour la sûreté relatif à l’indisponibilité d’une chaîne de niveau source (CNS) du réacteur 3, pendant une durée supérieure au délai d’indisponibilité autorisé par les règles générales d’exploitation (RGE).
Le 22 mai 2024, le centre du Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) de Cadarache a déclaré à l’ASN un événement significatif survenu dans la Station de traitement des déchets (INB 37-A appelée STD), suite à la découverte de défauts de génie civil. Ces défauts ont été constatés lors de travaux de réaménagement et de renforcement au séisme de l’installation, réalisés dans le cadre du projet PAGODE de rénovation globale de l’installation.
Le réacteur n°1 de la centrale nucléaire de Penly a été arrêté pour maintenance et rechargement en combustible le 31 août 2024, pour atteindre à nouveau sa puissance nominale le 19 décembre 2024.
Le réacteur 2 de la centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine a été arrêté pour maintenance et rechargement en combustible le 14 septembre 2024. Après redémarrage, il a de nouveau atteint sa puissance nominale le 4 décembre 2024.
Le réacteur 1 de la centrale nucléaire de Gravelines a été arrêté pour maintenance et rechargement en combustible le 16 août 2024, pour atteindre à nouveau sa puissance nominale le 2 novembre 2024.
Le réacteur 5 de la centrale nucléaire de Gravelines a été arrêté pour effectuer une visite partielle le 27 juillet 2024 (dernière visite partielle avant la visite décennale). Il a redémarré et atteint à nouveau sa puissance nominale le 14 novembre 2024.
Le réacteur 2 de la centrale nucléaire de Saint-Laurent-des-Eaux a été arrêté pour maintenance et rechargement en combustible le 17 août 2024 pour atteindre à nouveau sa puissance nominale le 1er décembre 2024.
Le réacteur 3 de la centrale nucléaire de Chinon a été arrêté pour maintenance et rechargement en combustible le 24 août 2024 pour atteindre à nouveau sa puissance nominale au 14 octobre 2024.
Le réacteur 2 de la centrale nucléaire de Cattenom a été arrêté pour maintenance et rechargement en combustible le 5 octobre 2024. Il a redémarré et atteint à nouveau sa puissance nominale le 25 novembre 2024.
Le réacteur 2 de la centrale nucléaire de Chinon a été arrêté pour maintenance et rechargement en combustible le 20 juillet 2024 pour atteindre à nouveau sa puissance nominale le 18 novembre 2024.
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