Catégorie : Revue de presse

Camp RadiAction et Rond-Point pour arrêter Bugey

Le Dauphiné Libéré du dimanche 30 août a publié un article à propos du «Décamp’finement» (camp de jeunes RadiAction) et de l’action « Ronds-Points » de la coordination Stop Bugey.

(Pour lire l’article, cliquer sur l’image)

SDN Bugey et la coordination Stop Bugey ont aidé à l’organisation de ce camp qui a regroupé beaucoup de jeunes militants, marquant un renouveau de la lutte antinucléaire en France.

Certains de ces jeunes sont venus sur le rond-point de la Grive à Bourgoin-Jallieu pour soutenir l’action de la coordination Stop-Bugey.

 

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La presse était présente pour l’action Ronds-Points du 29 Août

La presse était présente pour couvrir l’action Ronds-Points du samedi 29 Août, lancée par le Collectif Stop-Bugey.

Le Progrès dès samedi matin annonçait notre action : article vu plus de 2000 fois !! :  à lire ICI

France 3 dans son édition du JT du 12/13 : intervention de Jean-Pierre Collet au tout début (un peu coupée, comme d’habitude) :  à voir ICI (sélectionner la diffusion du 29/08)

France 3 dans son édition du JT du 19/20 avec le témoignage d’Anne-Cécile de Contratom sur le Rond-point d’Ambérieu, puis celui de Jean-Pierre Collet (très rapide) devant la centrale, qui nous a d’ailleurs valu une intervention surréaliste des gendarmes qui ne voulaient pas qu’on fasse une prise de vue avec les réacteurs en arrière-fond, car zones dites sensibles ! On a discuté pour trouver un terrain d’entente, et il a donc fallu se déplacer pour ne voir …que les tours !! :  à voir ICI (sélectionner la diffusion du 29/08 – les titres puis reportage à partir de 3′)

France 3, encore, avec un article sur le site internet de la chaîne :   à lire ICI

Le Progrès, avec un nouvel article paru dans l’édition du dimanche 30 Août, article assez fidèle et très complet cette fois-ci, le journaliste ayant interviewé pas mal de monde au long de la matinée sur le Rond-Point d’Ambérieu.

(Pour lire l’article, cliquer sur l’image)

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La presse locale réagit à notre communiqué concernant le rapport de la Cour des Comptes sur l’EPR de Flamanville

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Les mensonges de l’énergie nucléaire belge, dénoncés par l’association « Fin du nucléaire asbl »

L’association antinucléaire belge « Fin du nucléaire asbl », par la voix de son Président Francis Leboutte, a publié le 16 juin 2020 un communiqué qui dénonce les mensonges de l’industrie nucléaire, des gouvernements qui la maintiennent en survie artificielle et des instances internationales qui lui servent de caution (AIEA et GIEC) :

Pour lire le communiqué, cliquer ICI

 

En Belgique, l’abandon de l’énergie nucléaire (dite civile) a été décidé en 1999 par le gouvernement de l’époque (la « coalition arc-en-ciel » rassemblant libéraux, socialistes, et écologistes). Une loi exigeait alors l’arrêt des réacteurs nucléaires belges après 40 ans d’exploitation et prohibait la construction de nouveaux réacteurs nucléaires.

Mais depuis le vote de la loi il y a eu de nombreuses pressions du lobby nucléaire belge et international, pour que cette décision ne soit pas mise en oeuvre. Il faut préciser que les réacteurs nucléaires belges sont exploités par l’entreprise Tractebel qui est une filiale de la société Engie issue de GDF Suez elle-même issue de la scission en deux entités d’EDF-GDF.
Il faut préciser également que la Belgique, qui fait partie de l’OTAN, héberge les armes atomiques états-uniennes et les missiles pour les lancer. Il faut préciser enfin que la Belgique est un acteur important de la recherche nucléaire et qu’elle participe à plusieurs projets internationaux dont ITER en cours de construction à Cadarache (France).

Ainsi, en octobre 2009, le gouvernement belge a décidé de repousser de dix ans la première phase de sortie du nucléaire. La fin des permis d’exploitation des réacteurs nucléaires a été fixée à 2022 pour un réacteur (Doel 3), à 2023 pour un autre réacteur (Tihange 2) et à 2025 pour les cinq autres réacteurs (Doel 1, Doel 3, Doel 4, Tihange 1 et Tihange 3).
Puis en juin 2015 une nouvelle loi a modifié celle qui prévoyait la sortie de l’énergie nucléaire en 2025 au motif fallacieux de « préserver la sécurité d’approvisionnement énergétique de la Belgique ». Elle a ainsi prolongé de dix ans l’activité des deux réacteurs les plus anciens (Doel 1 et 2) au-delà de 2015, année au cours de laquelle ils devaient être mis à l’arrêt définitif.
Après divers rebondissements, la Cour constitutionnelle a annulé début 2020 cette loi de 2015. Elle en a toutefois maintenu les effets jusqu’au 31 décembre 2022, en exigeant qu’une étude d’incidences environnementales incluant la participation du public et une consultation transfrontalière soit menée.
En décembre 2019, la NVA, ou alliance néo-flamande (parti politique nationaliste qui est la force politique majoritaire en Belgique) a déposé une proposition de résolution pour la prolongation de réacteurs nucléaires après 2025 (des réacteurs qui auraient 40 ou 50 ans de fonctionnement à cette date, soit 10 ou 20 ans de plus que prévu à l’origine). Ce projet de résolution a été examiné en juin 2020 au sein de la Commission de l’énergie, de l’environnement et du climat de la Chambre des représentants.

C’est dans ce contexte que Francis Leboutte, président de « Fin du nucléaire asbl » a transmis à la commission de l’énergie, de l’environnement et du climat de la Chambre des représentants de Belgique l’avis en lien en tête de cet article. Celui-ci met en pièce le nouveau mensonge à la mode de l’industrie nucléaire selon laquelle la « filière nucléaire » est peu émettrice de gaz à effet de serre et donc « bonne pour le climat ».

Toute ressemblance avec la situation française n’est évidemment pas fortuite.

Comme tous les réacteurs français, et en particulier les quatre du Bugey, les sept réacteurs nucléaires belges présentent de nombreux défauts qui peuvent conduire à une nouvelle catastrophe nucléaire. Et comme tous les réacteurs nucléaires, ils rejettent en permanence de la radioactivité dans l’environnement et produisent des déchets radioactifs ingérables. De plus ils n’ont aucune rentabilité économique et leur maintien en fonctionnement aggrave le déficit des sociétés qui les exploitent, que ce soit Engie en Belgique ou EDF en France, et indirectement le déficit de l’État puisque celui-ci est actionnaire de ces deux sociétés privées à capitaux publics.

Les élus du département de l’Ain et de la communauté de communes de la Plaine de l’Ain, qui appellent de leurs vœux la construction de deux réacteurs EPR sur le site nucléaire du Bugey, au motif que cette technologie est bonne pour le climat sont complètement à côté de la plaque.
On leur conseille de lire le document en lien en tête de cet article, mais aussi le récent rapport de la Cour des Comptes sur le désastre de l’EPR :
Pour accéder au rapport de la Cour des Comptes, c’est ICI

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Après l’arrêt de Fessenheim, pourquoi pas la fermeture de Bugey ?

Suite à notre communiqué de presse du 1er Juillet mentionnant que suite à la fermeture de Fessenheim,
la centrale de Bugey devient de fait la plus ancienne centrale nucléaire de France,

la presse locale réagit avec cet article paru dans Le Progrès dès le 2 Juillet
(clic sur l’image pour agrandir) :

Le Progrès signe un article suite à notre Communiqué de presse demandant la fermeture définitive de la centrale de Bugey compte tenu de sa vétusté et des avaries qu’elle cumule…

Mais également ICI sur LYONMAG.com

Sur le Journal La Croix ICI

Dans l’Express, ICI

L’ASN répond dans cet article du Progrès « qu’elle n’a pas relevé de dysfonctionnements notables depuis 40 ans », mais faut-il attendre un accident notoire ou catastrophique pour fermer cette centrale ?

Faut-il rappeler que dans ces 4 vieux réacteurs, les incidents se sont succédés (près de 300 déjà répertoriés sur cette centrale ! ) : fuites radioactives à répétition, tuyauteries corrodées qui fuient ou qui ne résisteraient pas à un séisme, vannes qui s’ouvrent, se ferment intempestivement ou se bloquent, appareils de mesures défectueux, etc.
Le réacteur n° 5, avec une enceinte de confinement non étanche et une cuve aux nombreuses fissures est particulièrement inquiétant.

Les 3 autres réacteurs comportent de nombreuses pièces non conformes à la sûreté, suite aux falsifications des fabricants (AREVA Creusot Forges et le Japonais JCFC).

Ces réacteurs sont fragilisés et continuer à les faire fonctionner rend de plus en plus probable l’accident grave !

 

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Démantèlement de Bugey 1

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centrale du Bugey, pourquoi la Métropole ne peut pas être à la CLI

La commission locale d’information de la centrale nucléaire du Bugey prévoit de rejeter la demande d’intégration de la métropole de Lyon en son sein. Pour Pierre Hémon, président d’EELV à la ville de Lyon, il s’agit là de ne surtout pas avoir l’obligation de communiquer aux lyonnais à propos des risques et des incidents liées à la plus vieille centrale de France, juste après celle de Fessenheim.

la suite ici

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Élargir le PPI ou fermer la centrale ?

Le 13 mai 2016 Jean Pierre Collet de Sortir du nucléaire Bugey répond aux questions de Jean Luc Coppi journaliste au Dauphiné libéré sur l’élargissement du PPI de 10 à 20 Km annoncé par Mme Royal.

  • Que pensez-vous de cette extension du périmètre ?

« La France est très en retard par rapportinterview à ses voisins européens, qui sont pour la plupart à 20, voire en 50 km. Donc, il s’agit juste d’un rattrapage. Pour SDN Bugey, comme pour un certain nombre d’organismes comme l’ANCCLI, Association nationale des comités et commissions locales d’informations, qui demandent 80 km, voire 100 km, pour l’Autorité de sûreté nucléaire, on est loin du compte. Donc, 20 km, c’est un peu mieux, mais ce n’est pas encore ça. D’autant qu’avec ce périmètre, on n’inclut toujours pas l’agglomération lyonnaise, qui est à 35 km. Si le PPI est élargi, on aimerait que des panneaux le spécifient clairement à l’entrée de chaque commune, avec la mention »Zone à évacuer en cas d’accident nucléaire majeur », comme nous le faisons parfois lors d’actions symboliques. »

  • Concrètement qu’est-ce que ça change ?

« Les pastilles d’iode seront distribuées non pas dans un rayon de 10 km autour des centrales, mais dans un rayon de 20 km. S’il y a une évacuation, elle sera envisagée sur 20 km également. Cela permet d’élargir toutes les mesures d’urgence en cas d’accident nucléaire. Mais il y a la théorie et la pratique. On l’a vu avec la campagne de distribution de pastilles d’iodes qui a été organisée au début de l’année 2016 : seulement 30% des habitants concernés les ont récupérées. Il y a trois ans, un exercice d’évacuation dans un rayon de 5 km autour de la centrale du Bugey a eu lieu, qui n’était pas très concluant. Clairement, on doute de l’efficacité de ce PPI, qui reste très flou. En tout cas, la parade prévue en cas d’accident majeur me paraît partielle. »

  • C’est quoi la solution ?

« La centrale du Bugey va avoir quarante ans et il y a nombre de signes alarmants. On ne va quand même pas continuer à maintenir cette centrale qui est vétuste indéfiniment. La solution, c’est de fermer la centrale nucléaire du Bugey. En France, on est en surcapacité de production électrique et on pourrait arrêter des réacteurs, mais on ne le fait pas par choix politique. Parce que si on commence à arrêter le Bugey, ça veut dire qu’on arrête Fessenheim, etc. Mais on s’évertue à maintenir ces centrales à coups de centaines de millions d’euros parce que, malgré tout, ça ramène de l’argent, mais avec un risque qui est de plus en plus important. »

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Action rond point : ICEDA la poubelle nucléaire du Bugey !

Article du Dauphiné libéré du 12/01/2013

iceda-poubelle nucléaire du bugey

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Réunion modification du PLU à St Vulbas par rapportau projet ICEDA

Article de presse paru dans le Progrès le 10 juin 2012.

Réunion PLI St vulbas_SDNBugey_20120610 Le Progres

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