Le journal Le Progrès reprend les interrogations, craintes et indignations émises par la Coordination Stop-Bugey dans son communiqué de presse.
La concentration d’industries, dont certaines ont des activités avec de hauts risques chimiques ou d’explosion, en particulier celles classées « Seveso haut » (tout comme ce fut le cas avec AZF et Lubrizol) font craindre le pire avec la proximité des 4 réacteurs nucléaires en activité à seulement 5 km de là…
Comment peut-on admettre une telle culture du risque de la part des élus et des instances décisionnaires ?